Du BIO pour toute la planète !
Toute la planète pourrait-elle manger bio ?
OUI, c'est possible ! A condition de manger moins de viande.
C’est ce qui ressort de plusieurs études internationales (France, Allemagne, Etats-Unis).
Le "bio" c’est ce qu'on pourrait définir grossièrement comme une alimentation fabriquée sans pesticides, sans engrais de synthèse toxiques, sans OGM, et respectueuse des écosystèmes.
Pourquoi ce souci ? Parce que l'utilisation intensive de pesticides et engrais est nocive pour l’homme, et surtout, elle engendre une pollution majeure des eaux, des sols et a des effets délétères sur les écosystèmes (notamment disparition d'espèces vivant dans les rivières ou le littoral).
En fait, une large part de la planète mange déjà "bio", car beaucoup de paysans n'ont pas les moyens de financer des engrais et des pesticides. Dans ces pays, ce sont avant tout les politiques et les situations sociales instables qui engendrent les famines. Garder en les optimisant éventuellement les agricultures traditionnelles est presque toujours la meilleur solution.
En France, entre 65 et 70% de la surface agricole est consacrée à l'alimentation des animaux. Une grande partie de cette surface pourrait facilement être utilisée pour faire une agriculture saine. Pour cela, il suffirait dans un premier temps de diminuer la consommation de produits animaux de 20%.
Individuellement, on pourrait essayer de faire 3 repas (midi ou soir) par semaine sans produits animaliers - voici quelques recettes alléchantes. L’objectif serait aussi de consommer moins de viandes rouges et de ne manger que les laitages indispensables (éviter glaces, pâtisseries, gâteaux…). Dans l’idéal, on devrait tout acheter bio pour montrer qu’il existe une demande, soutenir les agriculteurs qui font des efforts, et ainsi agir pour la Terre. Même les petits budgets peuvent consommer du bio, un livre publié récemment explique comment : "Manger bio, c’est pas du luxe".
OUI, c'est possible ! A condition de manger moins de viande.
C’est ce qui ressort de plusieurs études internationales (France, Allemagne, Etats-Unis).
Le "bio" c’est ce qu'on pourrait définir grossièrement comme une alimentation fabriquée sans pesticides, sans engrais de synthèse toxiques, sans OGM, et respectueuse des écosystèmes.
Pourquoi ce souci ? Parce que l'utilisation intensive de pesticides et engrais est nocive pour l’homme, et surtout, elle engendre une pollution majeure des eaux, des sols et a des effets délétères sur les écosystèmes (notamment disparition d'espèces vivant dans les rivières ou le littoral).
En fait, une large part de la planète mange déjà "bio", car beaucoup de paysans n'ont pas les moyens de financer des engrais et des pesticides. Dans ces pays, ce sont avant tout les politiques et les situations sociales instables qui engendrent les famines. Garder en les optimisant éventuellement les agricultures traditionnelles est presque toujours la meilleur solution.
En France, entre 65 et 70% de la surface agricole est consacrée à l'alimentation des animaux. Une grande partie de cette surface pourrait facilement être utilisée pour faire une agriculture saine. Pour cela, il suffirait dans un premier temps de diminuer la consommation de produits animaux de 20%.
Individuellement, on pourrait essayer de faire 3 repas (midi ou soir) par semaine sans produits animaliers - voici quelques recettes alléchantes. L’objectif serait aussi de consommer moins de viandes rouges et de ne manger que les laitages indispensables (éviter glaces, pâtisseries, gâteaux…). Dans l’idéal, on devrait tout acheter bio pour montrer qu’il existe une demande, soutenir les agriculteurs qui font des efforts, et ainsi agir pour la Terre. Même les petits budgets peuvent consommer du bio, un livre publié récemment explique comment : "Manger bio, c’est pas du luxe".
Ne produire que du bio serait tellement bon pour la santé de Gaïa !